La légende d’Isoré
Il était une fois, au temps des rois (et des reines !) du Moyen Age, un géant nommé Isoré, roi de Coimbre en Portugal, haut comme trois hommes. Caché dans la forêt qui, à l’époque, venait jusqu’aux portes de Paris, il attendait qu’arrivent les pèlerins qui s’en allaient à Saint-Jacques de Compostelle.
Il les effrayait, les détroussait et parfois même les assassinait. Ces effroyables méfaits arrivèrent aux oreilles du roi ! Celui-ci convoqua ses meilleurs chevaliers. Tous furent défaits par le terrible géant. Le roi envoya chercher le preux Guillaume d’Orange qui vivait en ermite dans les montagnes cévenoles.
A l’issue d’un combat féroce, Guillaume réussit à décapiter le géant. Mais Isoré était si grand et si lourd, que la population décida de l’enterrer sur place. Le lieu donna la rue de la Tombe Isoré, qui, avec le temps, devint la rue de la Tombe Issoire.
rue de la Tombe Issoire, paris 14e
dimanche 27 mai 2007
samedi 26 mai 2007
jeudi 24 mai 2007
guinness
hier j'ai été à la bibliothèque. j'ai refais ma carte... pour la 3ème fois... en un mois!!!
il faut dire que j'ai la grande qualité de distractibilité, j'ai le don d'oublier les choses, voire de les perdre, mais là j'ai dû faire un effort pour ce nouveau record... mondial, c sûr :-)
mabrouk franco
il faut dire que j'ai la grande qualité de distractibilité, j'ai le don d'oublier les choses, voire de les perdre, mais là j'ai dû faire un effort pour ce nouveau record... mondial, c sûr :-)
mabrouk franco
vendredi 18 mai 2007
mardi 15 mai 2007
vendredi 11 mai 2007
words of wisdom
"The most unfair thing about life is the way it ends. I mean, life is tough. It takes up a lot of your time. What do you get at the end of it? A death. What's that, a bonus?!? I think the life cycle is all backwards. You should die first, get it out of the way. Then you go live in an old age home. You get kicked out for being too healthy, go collect your pension, then, when you start work, you get a gold watch on your first day. You work forty years until you are young enough to enjoy your retirement. You drink alcohol, you party, and you get ready for High school. You go to primary school, you become a kid, you play, you have no responsibilities, you become a little baby, you go back, you spend your last 9 months floating with luxuries like central heating , spa, room service on tap, then you finish off as an orgasm!! Amen"
George Costanza's "Words of Wisdom"
George Costanza's "Words of Wisdom"
mardi 8 mai 2007
oubliez-moi
Au nom de ce regret qui pointe à l’horizon
Au nom des fleurs-enfants dont on coupe la tige
Au nom de l’ennui mûr comme un fruit de saison
Au nom de ce regard qui se pose et s’afflige…
Au nom de ces désirs que l’on dit impossibles
Au nom des multitudes impatientes d’amour
Au nom des nuits passées en plein cœur de la cible
Et des rêves éteints à la lueur du jour…
Au nom de ces décrets dont on bague l’oiseau
Au nom de ces oiseaux qui sont pris de vertige
Au nom de tous les chiens qui se rongent les os
Et montrent la « papatte » pour un peu de prestige…
Au nom des faux-semblants sur fond de nicotine
Au nom de l’hygiéniste ascendant pisse-froid
Au nom de vos Aisanes pissées sans albumine
Et de ces amants fous qui riaient d’être trois…
Au nom de ce non-dit ! en pseudo de malheur
Au nom de l’encre brune où trempent les cartouches
Au nom d’une heure passée en un peu moins d’une heure
Et des lèvres éperdues qui ont perdu ta bouche…
Au nom du cœur scalpé au tranchant d’un regard
D’où Cupidon hésite entre Sioux et Comanches
Au nom de vos émois en amour de bazar
Au nom du temps qui passe et s’écrit sur mes hanches…
Au nom de l’ensemble
Et en mon propre nom, je vous en prie…
Oubliez-moi
Cyril C. Sarot, 2007
Au nom des fleurs-enfants dont on coupe la tige
Au nom de l’ennui mûr comme un fruit de saison
Au nom de ce regard qui se pose et s’afflige…
Au nom de ces désirs que l’on dit impossibles
Au nom des multitudes impatientes d’amour
Au nom des nuits passées en plein cœur de la cible
Et des rêves éteints à la lueur du jour…
Au nom de ces décrets dont on bague l’oiseau
Au nom de ces oiseaux qui sont pris de vertige
Au nom de tous les chiens qui se rongent les os
Et montrent la « papatte » pour un peu de prestige…
Au nom des faux-semblants sur fond de nicotine
Au nom de l’hygiéniste ascendant pisse-froid
Au nom de vos Aisanes pissées sans albumine
Et de ces amants fous qui riaient d’être trois…
Au nom de ce non-dit ! en pseudo de malheur
Au nom de l’encre brune où trempent les cartouches
Au nom d’une heure passée en un peu moins d’une heure
Et des lèvres éperdues qui ont perdu ta bouche…
Au nom du cœur scalpé au tranchant d’un regard
D’où Cupidon hésite entre Sioux et Comanches
Au nom de vos émois en amour de bazar
Au nom du temps qui passe et s’écrit sur mes hanches…
Au nom de l’ensemble
Et en mon propre nom, je vous en prie…
Oubliez-moi
Cyril C. Sarot, 2007
jeudi 3 mai 2007
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