mardi 28 janvier 2014

Elias Murr is not the head of INTERPOL!


Everyone exaggerates on their CV don't they?

I'm not talking massive embellishments, like faking a stint at Harvard or a doctorate from Oxford or Georgetown, nothing of the like. God Forbid!

But little alterations, like: "I have straight A’s; I am a highly motivated employee; I was elected employee of the month; and, I was appointed head of INTERPOL."

Those could pass, couldn’t they? It’s just a little frosting - they don’t really mean I’m falsifying credentials!

Well former Minister Elias Murr did it, and he got away with it. It has been over 3 weeks now since he announced that he has been appointed head of the INTERPOL foundation and everybody still believes he is the head of “THE INTERPOL.” 

Nobody looked into it.

Wait a minute! You mean to tell me, that you too thought it was true? So, what if he has a Facebook profile picture saying so? Yes, of course it isn’t true.
Murr was appointed the head of the “INTERPOL Foundation for a Safer World,” not the “INTERPOL” itself. They are completely different things.

Yes, the way the news was relayed seemed as though it was legit. But sorry to burst your bubble, it isn’t!

Here’s why:

- The INTERPOL and the INTERPOL foundation are not the same thing. On the 22nd of October, and according to the INTERPOL’s media release INTERPOL Executive Committee unanimously “endorsed” the creation of the INTERPOL Foundation for a Safer World. Endorse implies that the latter is not created by the former. Therefore, INTERPOL “approves- agrees to- acknowledges” the formation of the foundation and its appointment of Murr.

“Mr. Murr will be in charge of promoting and reinforcing INTERPOL’s strategic priorities in the fight against terrorism and transnational organized crime, and of supporting INTERPOL's efforts to create a safer and more secure world.”

So, he is not running INTERPOL. He will head a foundation which supports and promotes INTERPOL’s values.

- In addition, the president of the INTERPOL is never appointed. The president is always elected. The structure and governance of the international body is comprised of the President, 3 Vice-Presidents, Secretary General, the Executive Committee and the General Assembly, none of which are appointed. Top ranking positions are elected by the General Assembly whilst the Secretary General is nominated by the Executive Committee and approved by the General Assembly. A simple course on International Organizations would tell you that.

- If you still need proof, then here’s INTERPOL’s structure and governance page where it clearly stipulates that The President of the Organization heads the Executive Committee and is elected by the General Assembly for a period of four years.

- The Current president: INTERPOL’s current President is actually Mrs Mireille Ballestrazzi who was elected at the 81st INTERPOL General Assembly held in Rome in November 2012 and will serve as President until 2016.

Yes, all that fuss over Murr being appointed president of Interpol was for nothing.

He is not heading INTERPOL! He is merely heading a foundation – or better put— a support group which promotes INTERPOL values among regional stakeholders and power groups which has neither a website nor any premises yet.

So, my Lebanese friends get over it! STOP THE GLORIFYING!
And as for my fellow journalists, PLEASE CONSIDER VERIFYING YOUR FACTS!


https://now.mmedia.me/lb/en/newsandpolitics/520393-elias-murr-is-not-the-head-of-Interpol

Top 10 des citations les plus spirituelles sur les religions

Critiquer des religions peut mener au bucher ou la lapidation, tout dépend du lieu et de l'instant. En attendant, les religions ont toujours été source d'inspiration pour les libres penseurs et les humoristes. Voici un classement des citations les plus marrantes trouvées sur le net :
  1. Dieu a dit : "Tu aimeras ton prochain comme toi-même." D'abord, Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie... : Pierre Desproges
  2. Si Jésus était mort noyé, les chrétiens auraient l'air malin avec un aquarium autour du cou ou au-dessus de leur lit : Coluche
  3. Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman. : Pierre Desproges
  4. L'éternité c'est long, surtout vers la fin : Woody Allen
  5. N'importe quel chrétien venant de recevoir l'eucharistie vous le confirmera, Dieu fond dans la bouche, pas dans la main : Pierre Desproges
  6. Les religions sont comme les vers luisants: pour briller, il leur faut de l'obscurité : Arthur Schopenhauer
  7. Juif, c'est pas une religion ! Aucune religion ne fait pousser un nez comme ça : Serge Gainsbourg
  8. Mon Dieu, mon Dieu, délivrez-nous de toutes les religions. : Guy Bedos
  9. Je suis allé à Lourdes avec ma femme. Il n'y a pas eu de miracle. Je suis revenu avec : Seymour Brussels
  10. Jésus mais je n'avale pas : Manuela Sanchez Da Costa Dos Santos

Ah, si les Français gouvernaient l’Amérique !



Et si les hommes politiques américains se comportaient comme leurs homologues français? The Economist s’amuse à inverser les rôles et imagine la Maison-Blanche en pleine crise amoureuse.

Des ragots sans aucun intérêt ont récemment distrait les citoyens du pays le plus puissant du monde. Dans son dernier numéro, le magazine People a révélé ce que le Tout*-Washington savait déjà : Barack Obama a une liaison avec Jennifer Aniston. Une indiscrétion qui a filtré en dépit des louables précautions du président : délaissant les attributs de sa fonction, M. Obama se rendait dans la soirée à l’appartement de Mlle Aniston, pour n’en repartir qu’au matin (non sans s’être fait livrer des bagels par les services secrets) sur un scooter, le visage dissimulé sous la visière d’un casque.

Cet inacceptable colportage a attiré l’attention du public sur la vie privée de M. Obama – qui, comme il convient à un homme d’importance, est aussi bien remplie que diversifiée. Celle qui fut longtemps sa compagne était Hillary Clinton, qu’il n’a jamais épousée mais avec laquelle il a quatre enfants. Leur rivalité politique a malheureusement porté un coup fatal à leur relation de couple, et il s’est alors rabattu sur Katie Couric, qu’il a installée comme Première petite amie à la Maison-Blanche. Celle-ci vient d’être hospitalisée – bouleversée, comme le serait n’importe quel journaliste, par le battage médiatique entourant le dernier “grand amour*” en date de son amant.

Question pertinente

On ne sait donc plus, malheureusement, si Mme Couric se trouvera aux côtés de M. Obama à l’occasion de son prochain voyage en France, dont les habitants, poussés par leur puritanisme ou leur impertinence, risquent fort de poser des questions déraisonnables. Ailleurs qu’aux Etats-Unis, si déplorable cela soit-il, la moindre grivoiserie émoustille l’opinion publique. Heureusement, les Américains se montrent plus subtils que les étrangers : 77 % d’entre eux considèrent que la vie privée du président ne regarde que lui. Quand, lors d’une conférence de presse, un correspondant de Fox News a demandé si Mme Couric était toujours Première petite amie, et que M. Obama a rétorqué sèchement qu’il s’agissait d’une affaire privée, les journalistes sont rapidement passés à la question plus pertinente du déficit budgétaire à moyen terme.

Ce n’est pas parce que les aventures amoureuses ne sont pas un problème à Washington qu’il faut pour autant les exhiber. Toute la publicité faite autour du divorce de George W. Bush et de son épouse Laura, et du remariage tape-à-l’œil de l’ancien président avec la chanteuse Beyoncé, a certes eu un côté très arriviste*, mais surtout elle a été très impopulaire. L’approche du prédécesseur de Bush, dite “trois minutes, douche comprise*”, que son chauffeur officiel conduisait discrètement chez ses maîtresses, était beaucoup plus habile. Comme celle d’un autre président, dont la fille illégitime vivait aux frais du contribuable. La meute des correspondants à la Maison-Blanche a poliment gardé son secret pendant treize ans, ne le révélant qu’un an avant la fin de son dernier mandat.

Soyons sérieux une minute

Vivrait-on mieux aux Etats-Unis si les politiques se comportaient comme François Hollande, Ségolène Royal, Valérie Trierweiler, Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac et François Mitterrand, et si les Américains avaient une attitude plus décomplexée à l’égard de la bagatelle, comme c’est le cas des Français ? Des Américains plus doués pourraient enfin se lancer dans la politique sans craindre d’être brûlés vifs en place publique à la moindre démonstration de leurs trop humaines fragilités. Il y aurait davantage de Jack Kennedy et moins de Mitt Romney. D’un autre côté, si les hommes politiques français n’étaient pas protégés par la justice et la passivité de la presse, peut-être le message du Front national ne passerait-il pas aussi bien. L’idéal étant bien évidemment de suivre l’exemple du Royaume-Uni, dont la classe politique quasi immaculée est suivie de près par une presse réputée pour sa probité et sa sobriété.

Publié le 18 janvier 2014 dans The Economist Londres

Se démerder

Se démerder, c’est littéralement enlever soi-même les salissures provoquées par la merde (du latin "merda" : excréments). Il est inusité en ce sens.
Se débrouiller, se sortir d'une mauvaise situation, trouver un moyen, faire en sorte de, trouver une solution, se dépêtrer d'une situation problématique ; faire avec les moyens du bord ; faire en sorte de.

mardi 7 janvier 2014

Tout ce qui est soumis au contact de la force est avili, 
Quel que soit le contact.
Frapper ou être frappé, c'est une seule et même souillure.

Simone Weil.