Sur son lit de mort, on demanda à Voltaire de renoncer à Satan et à ses œuvres. Il refusa, affirmant que ce n'était "pas le moment de se faire un ennemi".
Mieux vaut être malheureux qu'hypocrite, écœuré que naïf – et il vaut assurément mieux être maussade qu'idiot.
Courrier International. 12 Juillet 2013.
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